Talons-Hauts (nouvelle)

Je mets toute l'histoire ici car je l'ai corrigée ...

Encore une nuit sans bruit dans les rues de New York. Personne n'osait sortir. Le seul son qui résonnait dans les rues désertes était un bruit de talons frappant le sol à rythme réguliers. Une silhouette féminine se déhanchait avec délicatesse au milieu du grand boulevard où aucune voiture ne roulait. Ma silhouette. En plus d'être vide, les rues n'étaient pas éclairées. Tout le monde avait peur des vagabonds de la nuit : les assassins. C'est ainsi que l'on m'appelle. Je suis une meurtrière qui a les mains noyées de sang. Mais le surnom le plus fréquent que l'on entend dans le journal de 20h était Talons-Hauts. Les plus grands enquêteurs ne cherchant pendant de longues journées alors que je suis dans mon refuge, une villa en-dehors de la ville. Si seulement ils sortaient pendant la nuit en avalant leur peur et leur lâcheté, ils me trouveraient. Mais à quoi cela les avanceraient-ils ? Les policiers travaillent trois fois moins car plus aucun vol n'est effectué la nuit.
Les journalistes disent que je laisse une signature particulière après chacun de mes assassinats : rien. Absence de preuve totale, appartement normal mis à part la présence d'un corps inanimé au milieu du salon. C'est normal, je suis une maniaque. Dans ma grande villa, tout est parfait. Pas de poussière, rien. Les seules et uniques choses que je laisse sont mes talons aiguilles. Ils disent que je les fait mangé à mes victimes ce qui est faux. Ils enveniment toujours tout. e leur laisse ce souvenir à côté d'eux.
Mais là, j'avais mes talons donc je n'avais pas encore exécuté ma victime. Normal, car ce soir, pas de victime. Cette décision m'avait été dure à prendre mais tanpis. J'avais décidé de ne plus tuer pour que les gens sortent à nouveau de chez eux. Car sans personne dehors, personne à assassiner.
Une brise fraîche glaça ma nuque. Maintenant, j'en étais sûre : On m'observait. Le souci à tout cela, c'est que je ne suis qu'une humaine malgré ce qu'ils disent tous. Je ne peux pas m'envoler et disparaître dans le ciel. La seule solution : me cacher. On jouerait au chasseur chassé. On voulait m'attraper et me tuer. A moi, d'attraper mon assassin et de le tuer. J'enlevai mes talons et me mis à courir dans la rue, à la recherche d'une impasse où me réfugiait. Ma robe voletait dans le vent et les chaussures sans talons étaient très désagréables. Souvent des balles s'abattirent sur moi. Instinctivement, je fis une roulade qui me fit les éviter. Je m'aperçus que je devenais trop puissante. Je ne dormais pas et je n'étais pas fatiguée. Je passais mes journées à m'entraîner et voilà que mes heures de travail m'avaient sauvé la vie. Je continuais de courir mais me voilà face à un cul-de-sac. Mon agresseur lui était bien placé pour m'expédier de suite en enfer. Plus d'une seule solution s'offrait à moi : lutter. Le couteau dissimulé dans ma ceinture serait celui de mon prochain meurtre.
Je tuai mon assassin sans trop de problème. Mais il n'était pas venu seul à ma recherche et j'entendais ses coéquipiers arriver. Je n'avais guère le choix pour m'en sortir : les toits. J'entassai poubelles et cartons pour arriver sur le toit le plus bas qui me jouxtait. Je courais à toute vitesse, sentant les tuiles s'écrouler sous mes pieds. Mais mes agresseurs m'avaient suivis sur le toit et tiraient à présent à l'aveuglette.
La chance me souriait. Un building s'élevait devant moi. La fenêtre en face était grande ouverte et je me jetai à travers. J'arrivai dans un bureau éclairé par une faible lumière où un homme travaillait. Quand il m'aperçut, il me demanda :
- Qui êtes-vous et que faites-vous là ?
- Fermez la fenêtre s'il vous plaît ! exigeai-je sans répondre à sa question. Je vais me faire tuer !
L'homme se leva précipitamment et claqua la fenêtre puis la verrouilla.
- Merci, dis-je dans un soupir de soulagement.
- De rien. maintenant, dites-moi qui vous êtes ...
- Si je vous le disais, vous me tuerez ou vous alerterez de suite la police ...
- Je ne ferais rien de cela même si vous étiez la grande criminelle que l'on appelle Talons-Hauts.
Un lourd silence s'installa. Que lui répondre ? Devais-je lui dire que c'était moi ? Son regard se porta sur mon couteau puis sur mes chaussures.
- J'ai lu quelque part, reprit-il lentement, que quand cette criminelle se fait pour suivre, elle enlève les talons de ces chaussures et que souvent elle affronte ses ennemis avec un couteau à grande lame ...
- Qu'entendez-vous par cela ? demandai-je en faisant croire que cela était innocent alors que j'étais sûre que mon expression me trahissait.
- Etes-vous Talons-Hauts ??
- Si vous voulez tout savoir, oui.
Il posa sa main sur le téléphone de son bureau. J'eus peur qu'il appelle la police.
- Comment vous appelez-vous ? me demanda-t-il.
- Appelez moi Lizy. Si vous savez mon nom, je risque d'être dans de sales draps.
- Lizy ? C’est la contraction d'Elisabeth, non ? insista-t-il.
Il avait raison d'insister car mon vrai nom était effectivement Elisabeth. Elisabeth Jones Mary. Mais personne ne connaissait ce nom. Il me fallait donc mentir pour protéger mon identité.
- Oui. Ma mère s'appelle Elisabeth. Et vous comment vous appelez-vous ?
- Thomas Raigers. Je travaille ici.
- C'est quoi comme bureau ? demandai-je avec curiosité.
- Le bureau de recherches des disparus ...
- Le bureau des recherches ?? Ça veut dire que vous avez accès aux fichiers officiels, n’est-ce pas ?
- Oui mais je n’ai aucune raison de vous recherchez ni d’annoncer que j’ai trouvé la célèbre Talons-Hauts.
Disait-il vrai ? Allait-il resté silencieux alors que la récompense pour des informations à mon sujet frôlait les cents milles dollars ? Mais son regard rempli de franchise m’avait convaincu.
Soudain, mes yeux croisèrent mon reflet dans un miroir et je compris alors pourquoi cet homme allait faire preuve de pitié à mon égard. Décoiffée, maquillage qui avait coulé avec la sueur, ma robe froissée. De plus, j’ai toujours été réputée pour mon regard persan.
Ce pendant, je sentais qu’il regardait mon couteau avec crainte.
- Ne vous inquiétez pas, lui dis-je avec douceur. Pourquoi vous tuerais-je alors que vous m’avez promis de ne rien dire aux autorités ?
- Talons-Hauts est réputée pour être sans pitié, balbutia-t-il avec peur.
- Arrêtez de parler de moi ainsi ! criai-je avec rage.
- Je m’excuse, soupira-t-il. Maintenant, je dois partir et vous aussi.
Tout à coup, un éclair déchira le ciel noir et une pluie battante s’abattit sur la ville.
- Vous vivez où ? me demanda-t-il.
- En dehors de la ville. Loin …
- Je vous invite chez moi alors, annonça-t-il brusquement.
Je ne m’attendais pas à une invitation de la part d’une personne qui savait qui j’étais.
- Savez-vous ce qui vous attend si, commençai-je en m’arrêtant car je m’étais aperçue que j’allais dire une bêtise.
- Si quoi ? insista-t-il.
Il fut soudainement surpris et je crus savoir pourquoi en sentant mes joues me brûler. Elles devaient être toutes rouges. Un mal aise m’envahissait que je n’avais pas connu depuis longtemps. Je m’étais bien établi une règle : ne jamais tomber amoureuse. Mais je venais de l’enfreindre.
- Si quoi ? répéta-t-il afin d’obtenir une réponse claire.
Ses yeux rivés sur moi me transperçaient et je me trouvais désarmer face à son regard envahissant. Moi, une des plus célèbres assassins de New York, je me retrouvais immobilisé face à un homme à qui je pourrais facilement enfoncer mon couteau dans le ventre.
J’attirais mes victimes en les charmant, en me faisant inviter chez eux puis je les assassiner. Mais quand il s’agissait de quelque chose de vrai, d’un sentiment que je ressens, c’était totalement différent. J’étais paralysée.

Cool, une histoire d'assassin! J'adore!

*Jolis petits yeux de chaton*

comment ça "si on te la demande" ????? tu sais très bien que jvais te supplier à genoux et ramper dans la boue s'il le faut pour avoir la suite O_O !! alors épargne des souffrances à mon pantalon (ex: trous au niveau des genoux après s'être trainée 2 à genoux) et envoie la suite immediatly pleaaase !

Je l'ai continué sur le même message !!

J'ai lu! Et je veut encore la suite!

Et ben non ....
*prend un air sadique !!*

JE VEUX LA SUIIIITEUH !!!!!!

Moi aussi!

... sniiiiiiiifeuh !!!!!

GRRRRRRR moi aussi je la veux ! ! ! ! ! ! ! * se tape la tête contre un mur car elle devient folle à force d'attendre la suite ! *

*Mais c'était trop tard. Le mur avait déjà été réduit en poussière par la tête de Zyl*

bon alors je vais utiliser la technique simple pour éviter de me fendre le crane
*fait les yeux doux et supplie yaya de mettre la suite*
j'adoreeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !!!!

Dans peu de temps ...

comme nous ? c'est à dire ?