Je marchais dans les rues sombre de paris, la pollution avais formé une couche de nuage gris sur tout le ciel, il devait bien être 2h du matin seule la lumière faible des poteaux illuminais la vielle rue ...
j'entend dit des pas derrière moi " il ma sûrement vu " pensais je,
je n'osent pas me retourné je tourna au coin de la rue ...
Sans trop savoir pourquoi, je me mis à courir. Cette présence me gênait, sans pour autant que je sache qui me suivait. Je courais, seule dans les rues sinueuses, me trompant parfois de ruelle, mais retrouvant toujours des rues plus connues. Ca me suivait toujours, silencieusement...je n'entendais même pas le bruit de ses pas...
Croyant prendre une rue qui me mènerait sur le boulevard, je m'engageai dans une impasse. Un mur se dressait devant moi, immense, comme une barrière infranchissable qui séparerait deux mondes...Décidée à affronter mon destin, je me retournai, me retrouvant ainsi face à mon poursuivant. Je savais me défendre.
la je vis se que je redoutais de voir , une créature hideuse avec des écailles pourpre sur le dos, des yeux jaune et envoûtant me faisant baiser le regard ...
"C’est bien la créature qui a tué papa et maman "
Toute petite je fus élevé par ma soeur car ma mère se fut dévorée par cette bête :
- Maman où est papa ?
- Je ne sais pas chéri mais va te recoucher
Clink !
-MAMAN !c'est quoi ce bruit ?
Le bruit venait de la cuisine quelqu’un avait casser la vitre pour s'infiltrer dans le maison
- vite cour chercher ta soeur elle est sûrement dans un bistro du coin !
Alors je couru aussi vite que mes petite jambe le permettais et quand j'était rentré avec ma soeur il était trop tard ma mère était morte.
La bête se mit à s'approcher. Beaucoup trop près selon moi ! Un coup de patte vient dans ma direction. J'esquive, me met à genoux et passe entre les jambes du monstre. Lui il ne m'aura pas. Je coure. Un éclair d'argent passe devant moi. Le monstre recommence à me poursuivre...
J'avais longtemps traqué ce monstre, en vain, et voila qu'il me tombait dessus comme par hasard à un moment ou je n’étais pas sur mes gardes!
En plus j'avais laissé mon épée chez moi ! Il fallait absolument que je rentre. Alors sans penser à mes points de coté je me mis à accélérer jusqu'à me retrouver face à la Seine.
le démon m'a rattraper. Une griffe s'enfonce dans mon dos. Je continu d'avancer. 1, 2, 3 pas et me voila face à l'eau. D'un dernier mouvement j'enlève la lame qui m'agresse et saute. La Seine est troublée d'une flaque rouge. J'ai toujours cette épée incrustée mais le monstre n'y est pas accroché.
Je plonge pour être hors de vue et tente de nager mais j'ai vraiment mal et l'eau infecte ma plaie ! J'ai heureusement plongé à un endroit ou la seine est très fine. J'atteignit donc l'autre coté de la berge et m'extirpa de l'eau en m'aidant de mes bras musclés.
Mes habits étaient alourdis par le poids de l'eau et je marchai avec peine. Heureusement que la créature avait horreur de l'eau sinon je serai déjà entre ses griffes.
Un vent froid vint me glacer les os. Je me retourne sur l'autre rive le monstre vient de voir un pont. Il cour pour venir jusqu'a moi. J’enlève la griffe et la brandit. De quoi me défendre. La douleur dans mon dos m'est insupportable. Mes jambes se dérobent. Je suis a genoux, l'épée planté entre les pavée : comme un héros vaincu.
la quand je cru que tout allait s'arrêter et que s'en était fini pour moi je vis ...
Le monstre s'approchait je voyait la lueur de la victoire dans ses yeux jaunes j'avait l'impression qu'il avait accompli une chose qu'il rêvait de faire s'est alors que je réalisa c'est monstres tuaient toute sa famille son père puis sa mère et sa soeur maintenant s'était a sont tour "pourquoi nous ?" je me repris en main
- RAAAAAAAAAAh tu ne m’auras pas !
Tout devint noir
Quand je me réveillai je n’étais pas chez moi
Murs noirs. J’étais étalé sur un lit. Un de mes pied y été solidement fixé. Je me relève. Pas de lumière dans cette pièce bizarre. Une odeur nauséabonde plombe l'atmosphère. Une toute petite lucarne laisse voir la lune au plafond. Je n'y vois rien. 3 barreaux barrent la lucarne, j’entends des couinements -des rats sans doute - effrayants. Je me concentre alors sur mon pied droit, il est attaché au lit par une chaîne trop serrée pour que je la retire.
J’étais une jeune fille coriace. J'ai 15 ans et à 6 j'ai vus mes parents mourir. Je revois passer l'éclair argenté. Il passe deux fois et s'arrête devant la lucarne. Brun, yeux verts, chemise blanche ouverte sur un tee-shirt noir. Une vive douleur me saisit. Un rat vient de sauter sur ma main occupée à desserrer mes liens. La douleur est vraiment cruelle. J'ai envie de hurler mais je me contrôle. J’ouvre la gueule du rat avec beaucoup de difficulté et l'envoi valser. Une autre bestiole vient m'attaquer. Je re-regarde L'éclair, des larmes de douleur me brûle les yeux. Elle laissa tomber ses liens et s'occupa des rats, mais ils étaient trop nombreux et au bout de 30 minutes douloureuses de lutte....
Une porte s'ouvrit. Pas de lumière. Mais une vive odeur. Le clair de lune luisit sur les écailles pourpres du monstre. Ma fin est proche. Un rat s'accroche à mon jeans déjà troué par les petites dents de toutes ces bêtes. J’arrache le rongeur de mon jeans et le lance au "visage" du monstre. Le projectile gémit en atteignant sa cible et s'accrocha au "nez" de la bête. Le rat étant vraiment gros, mon problème se débattait mais n'arrivait pas a l'enlevé. Je me suis mise à courir vers la porte derrière le monstre.
Un humain ! Oui s'était un humain qui se tenait devant la porte et que j’avais fait tombé dans ma course, nous étions par terre "sa fait du bien de voir un des siens "
- Bonjour dit la personne avec un ton glacial.
il me tendit le main pour m'aider a me relever
- Heu... bonjour dis-je hésitante
- Bien dormi ?
Il ne me laissa pas le temps de finir ma phrase ...
« Suis moi.» me dit il, sa voix était si menacent que je ne répondis qu'un petit oui et je le suivi sans faire d'histoire.
En passant la porte je m'aperçu que celle ci n'avait pas de serrure ni d'autre façon qui m'était familière d'ouvrir une porte.
Je scrutait la porte et j'aperçu quelque chose qui ressemblais à une empreinte je comprit aussitôt, celui ou celle qui essayerait d'ouvrir la porte ni arrivera pas, sauve si cette empreinte lui appartient si c'est la sien il lui suffira de mettre sont doigt pour l'ouvrir.
Bizarre, quelle sorte de personne mettrait un système comme celui ci?
Sûrement quelqu’un qui a quelque chose a cachée.
Il marchait vite, trop vite pour moi, ma blessure me faisait mal.
Enfin, nous arrivâmes à une porte (équiper évidemment du même système que l'autre) l'humain pris quelque chose dans sa poche, horreur, c'était un pouce! Je fût prise d'un pressentiment et si cette personne n'était pas le propriétaire de cette endroit, peut être avait il couper le doigt de la personne dont l'empreinte pouvait ouvrir toute ses portes!
Je frissonnai en voyant ce bout de membre blême être tripoté par d'autres doigts. L’humain ouvrit la porte et me fit entrer dans une salle sombre, pleine de tableaux représentant les têtes coupées de personnages inconnus...
Soudain avec horreur je vis un tableau avec la tête de ma mère et un peu plus loin celle de mon père et ma grand-mère
- Ne voudrais tu pas avoir ton propre auto tableau me dit il
- Heu ... mon… mon… je ne savait plus parler devant c'est horreur tout c'est personne était de ma famille !
Je ne voulais bien sur, pas finir comme ça. Le sang continué de couler le long de ma jambe meurtrie. Le sadique que j'ai heurtait précédemment, se tourna vers moi. Horreur ! Il avait le visage défiguré. La peau été retrousser et barré de cicatrices. Il avait le visage blanc, le crâne rasé.
Panique incontrôlable quand le sadique, ou Sad', me fit un sourire. Ses dents été grise et ses lèvres avaient été hachées par je ne sais quoi. Les lambeaux de lèvres s'étaient recoller par eu même et formé maintenant une sorte de couture entre les deux parties de la bouche. Un vrai film d'horreur.
Sad' s'approche de mon visage, lui aussi défiguré mais lui par une peur toute humaine. Il a un couteau dans la main. Celui ci me perce doucement le ventre et fait couler encore un peu plus de sang.
Comme j'avait perdu beaucoup de sang j'était a bout de force mais je ne voulait pas sombrer encore une fois c'est alors que la vitre au dessus des tableau éclata en morceau (je ne l'avait pas vue plus tôt car elle avait été peinte en noir de façon a ne pas voir a travers)un jeune home était entré je cria
-Au secours !!!
Le jeune homme se dirigea vers moi un pistolet viser sur le Sad'
-Je l'emmène avec moi, dit-il de sa voix était fière et puissante
-Et tu crois que je vais te laisser faire ?dit Sad'
- mort on laisse faire pas mal de chose tu sais, répondit il les yeux fixant le Sad'
- Tu connais cette fille ? riposta t-il en me tirant les cheveux."
Il me tirait a présent en arrière pour m'égorger avec un petit couteau gravé de mots bizarres. L'éclair argentée eu une lueur de panique dans les yeux. Selon moins c'était une panique logique. Moi j'avais trop mal pour avoir peur. Et puis les yeux de mon "sauveur" m’envoûtaient. D’un vert pénétrant. Le Sad' vit que le jeune homme avait peur. Il appuya un peux plus le couteau sur ma gorge, comme cela si le brun aux yeux vert tiré, je serait morte de tout façon. Un mince filet de sang se mit à couler sur ma gorge. Je suis prise de vertige. Je vais tomber dans les pommes et donc laissé le couteau m'exécuter. Je ferme les yeux et laisse couler une larme, puis deux. Toutes ses années pour ça. J'ouvre la bouche et articule :
- Je ne mourait jamais comme ça ! je lui donna un cou de pied avant de me dégager du Sad'
je sauta agilement par la fenêtre cassée
Je coure à présent dans un néant. Celui de mes pensées. Je voie un éclair courir d'un batiments à l'autre. Je cour dans une ruelle étroite, derrière le batiment qui me servait précédemment de prison. Je ne vois plus l'éclair, il s'emblait me donner la direction. Je continue de courir. On m'agrippe par le bras. Je me retourne. Face aux deux yeux verts et à ces lèvres exquises.c'était le jeune garçon qui avait sauté dans le repère du Sad'
- ne t'inquiéte pas je ne te ferait aucun mal dit il d'un ton rassurent
alors je le suivi nous rourûmes une bonne centène de métre jusqua une vielle cabane abandoné
- voila c'est chez moi! dit il d'un ton trionfant
j'entra par une "porte" (du moin se qui me semblait être une porte)
- Comment tu t'appelle ? demandais-je
- Qu'importe mon nom, qu'importe le tien, ont ils seulement un sense?
Avant tout il faut te guérire, je ne suis pas médecin mais je croit que pour commencer tu dois dormir.
Je ne pouvait pas lui donner tord même si j'avais plein de questions a posée.
La cabane n'était pas très grande, humide mais plutôt confortable grace au couverture animale qui recouvrait même les murs.
Il me porta jusqua la plus petite converture que (on le voyais au coussin de plume) était un lit.
Je m'endormie aussitôt, combien de temps restais-je là, endormie, je ne serais le dire...
Mais par contre je me rappelle du milieu de la nuit. L'éclair pansé les plaies de ma jambe et la légère coupure de ma gorge.
Quand je me réveilla on était déja dans la mi journée et la lumière pénétrait vivement dans la cabane je mis ma main au-dessus de mes yeux pour mis abituée; je me redressa et vis que le garçon était parti
"dommage" pensait-je. Je me lève et regarde par la fenêtre. Cette cabane en bordure de paris été iréel. Tout simplement parce que je ne voyais pas la ville. Paris bouillaunante, Paris rebelle n'été plus à la fenêtre. J'était en pleine campagne, dans la cabane d'un jeune homme mystérieux et beau de surcroit. Qu'elqu'un ou quelque chose es ma recherche et l'éclair ma sauvé la vie. Soudain ...
...Un bruit retenti je me cacha (du moin la moitié de mon corps était caché) derrière une pierre ,des bruits de pas s'approchait
Je vis avec contentement que ce n'était que e garço qui arriva les bras chargé de nouriture
- Il n'y a aucune raison de te "cacher" tu sais me dit il
je me sentait génée :Embarassed:
"excuse moi, je suis un peu méfiante...
- c'est pas grave tu sais."
J'ai sentie que s'était le moment ou jamais pour poser mes questions
"pourquoi m'as tu sauvé ?
- parce ce que tu es jolie...
- vraiment ? dit-je rougissante
- mais bien sur. je ne suis pas du genre chevalier au secour des princesses. Mais plutot un mec sensé qui t'aime bien.
- on est ou ?
- En plein Paris.
- mais....
- Nous sommes sous la Seine. pas dans les égouts bien sur mais dans une salle gigantesque éclairé par je ne sais quoi."
Je me bloque.
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