Histoire à compléter

Ma main trembla un instant. Saisissant la garde de mon épée, je me resaisit. Il fallait que je le fasse. Il le fallait vraiment. Pour venger mon peuple. Pour les venger tous. Malgrès moi, ma main tremblait toujours, agitée de spasme. Je lachai mon épée qui tomba à mes pieds. Les larmes infinies de celle qui sait qu'elle regrettera sans doutes trop son action pour y survivre emplirent mes yeux fatigués par la vue de tant de morts. Ramassant mon épée, je tentait de contrôler mon envie de hurler, de demander en criant au monde la raison de toutes ces injustices. Pourquoi n'avait-on jamais à choisir ses actions? Se savoir guidé de bout en bout par une main invisible tirant des ficelles incassables au dessus de nous. Mais il était maintenant bien trop tard pour les regrets. Je relevai ma tête alourdie par mon heaume de bataille et faisait face à la porte, les yeux dans le brouillard et l'épée en main. Maintenant.

La porte s'ouvrit et déferlèrent sur moi alors les pires horreurs, celles que je n'aurais jamais voulu affronter, avant. Avant cela. Au milioeu du champ de bataille, mon espritme criait de commencer à me défendre, ou alors defoncer dans le tas. n'importe quoi, mis vite! Mon corps refusait de bouger, comme paralysé contre ma volonté. La première créature arrivait presque à ma hauteur quand je réussis d'un geste nerveux, à envoyer un coup d'épée maladroit. Une deux, trois créature,s trois betes immondes furent empalés et quelques autres tuées en étant projetés sur les lambeaux de lances qu'ils restait dans les mains des anciens vaillants chevaliers de notre ancien peuple...Non, il ne fallait pas se laisser à la nostalgie. Pas maintenant. Si je voulais les venger, il me fallait d'abord survivre. Sauve ta peau si tu veux pouvoir sauver celle des autres!

Je retirai ma lame des cadavres immondes des bêtes. J'essayai alors en vain de me frayer un chemin jusqu'aux quelques survivants de mon peuple. Complètement en vain. Ils étaient cernés par des monstres vingts fois plus nombreux et deux fois plus grands qu'eux, se defendant vaillament mais n'ayant pas d'illusions sur leur sort final...
Je hurlai de rage et de dépit, tailladant là, empalant ici, le visage tant inondé de larmes que je n'avai même plus la force de voir si mes adversaires mourraient de mes coups ou bien réussissaient à les esquiver. J'avai également perdus de vue les miens et ma situation, tout comme la leure l'avait été, devanait de plus en plus préoccupante. J'étai entourée par ces bêtes, qui, à défaut de possèder tactique et entrainement, étaient beaucoup plus nombreuses, plus grandes, plus fortes et mieux armées...

Les vaillants chevaliers du royaume combattaient avec force, sans cultiver autant d'espoir. Les laches essayant de fuir ne subissaient qu'un pire sort, mourir de la meme manière sans la gloire d'avoir frappé jusqu'au dernier souffle. Mon armure commençait à peser ur mes épaules, chaquepas m'était plus pénible encore que le précédent. Je tailladais, décapitai, sans conviction, me battant pendant toutes les secondes dont je connaissais déjà l'échéance (ça etre phrase sortie du texte qu'on étudie en franaçis )Et alors, miracle. Je n'y crouais plsu et pourtant je l'avias sous les yeux. La porte. Irradiant de lumière phosphorescnete. Il n'y avai tpas un monstre qui la gardait. Pas un. Imbus d'eux memes pour penser que personne ne l'atteindrait, ou totu simplemnt stupides d'étre tous partis dans la fièvre de la bataille? Sans me poser plus lontems de question, je me hatai, courant aussi vite que me le permettait mes jambes fatiguées et mon épée si lourde.