Cet homme marquait vues et mémoires
Il était a part, dans un autre sac
Il éspèrait, soir après soir
Refusant de se laisser abattre
De paysan devint poète
Au coeur de l'horreur il composait
Faisait de chaque soir une fete
Les longs tour de garde en étaient jalousés
Tous les jours il enterrait
Un autre admirateur abattu
Mais dans sa tête la machine tournait
Ses vers n'en étaient que plus ardus
C'était pour lui le seul moyen
De combattre l'adversité
Jusqu'a ce qu'un jour sans lendemain
Il dut combattre désarmé
Bien triste guerre sans pitié
La chance est seule réalité
Qu'ils soient écrivains ou estropiés
Pas de détail, pas de quartier
Même en relevant bien haut la tete
Nous finissons par succomber
Alors qu'un fusil a baïonnette
Bien qu'enrayé peut toujours tuer
En hommage aux 10 millions d'hommes morts au front, a leurs familles ayant souffert de famines et épidémies, a cette guerre sur tous les fronts aussi dure des dex cotés...y a t-il eu un réel vainqueur ?
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c'est contagieux en plus faites gaffe 
)
woahou
