La fenêtre

Lorsque j'ai vu cette fenêtre, je n'ai rien su
Me suis avancée, folie en tête, vers nus,
Ai arraché les mots au paysage d'or
Revelé le tableau du poète qui dort...

Puis ai fui loin devant ma seul aberration,
Le poète n'avait de précieux que le nom,
Ce n'était pas moi, ni ce que j'ai toujours cru,
La face d'un monstre sur le mur blanc écru;...

Lorsque les pieds et rimes, assomée me laissèrent,
Mon corps sans mon esprit gisait seul sur la terre,
A jamais perverti par ceux qu'on nomme vers,
Mais tout aussi bénie, m'en allait le coeur fier...

Le monstre était folie, et je suis un reflet,
Noyée dans les vapeurs de ses yeux blancs de lait,
Au délire parlé de quelque mots brisés,
La fenêtre pour moi en paix s'est refermée...

Waaaa..

(poètes, voici notre hyne a tous O_O la rentrée est sourcce d'inspi pour toi, didonc....)

Vi, une grande inspi d'une demie-heure^^

Oooooooooooh z'adore!

Fenque ioo!

zyloune! je viens de voir....meme signe du zodiaque "français" et chiinois ^^"

Tiens, c'est vrai^^

dis moi zyloun' pourquoi je comprend jamais vraiment tes poèmes tout en les adorant quand même ?