concour de texte

voila je voudrais que chaqun fasse un petit ou grand texte sur se qu'il veut et sa doit raconter une histoire tres courte elle peu être drole triste d'amour comme vous voulez

appellez votre inspi !


bon le concour est terminé alors je vous dmanderais de passer au vote

Ok jme lance:

Une jeune fille regarda le champs de bataille qui avait autrefois été un endroit d’une bautée inconparable. Ca et là, elle voyait des cadavres d’ami(e)s, d’ inconnu, d’enfants geunes,trop geune, où encore d’une créature démoniaque. Elle sortit des décombres du château. Elle avait été trop lâche pour continuer à se battre. Elle avait préféré rester dans le château déjà à moitié en ruine. Elle n’y pouvait rien pourtant. Elle avait toujours eu une sainte horreur de la guerre. Dès le début de l’affrontement, elle s’était éclipsée et s’était cacher dans le château.

« Cid… »

Elle espérait qu’il avait survécu. Elle se précipita vers l’endroit ou elle l’avait vu la dernière fois. Il éait là, étendu sur le sol. Son corps avait de nombreuses blessures et il baignait dans son sang. A la vue de son ami, elle poussa un cri de terreur.

« Non ! Ce n’est pas possible… Pas lui… Ce n’est pas juste… Pourquoi était il mort alors qu’je suis en vie…»

Elle s’agenouilla, le visage ruisselant de larmes et pris la main du survivant. Elle était froide. Néanmoin, elle remua faiblement dans celle de la jeune fille. Cette dernière ouvrit les yeux. Non, elle ne rêvait pas. Cid ouvrit faiblement les yeux.

- Cid… murmura la jeune fille.

- Crystal… Je suis content que tu ai survécu. Tu seras la seule survivante de cette bataille.

- Non ! Toi aussi tu es vivant.

Cid sourit faiblement.

- Plus pour longtemps Crystal. Mes forces m’abandonnent tout doucement. Dans quelques minutes, je ne serai plus qu’un corps sans vie. Désormais, plus personne ne peux rien pour moi.

- Si Cid. Dans quelques instants, les medecins seront arrivés et ils vont te soigner. Le monde ne poura pas survivre sans toi. Et moi non plus.

La respiration du survivant se fit sacadé.
(suite)

- Crystal… Quoi qu’il se passe, promet-moi que tu ne m’oubliras pas. Et promet-moi aussi que tu n’éssayeras pas de me rejoindre.

- Je te le promets Cid… Je te le promets…

- C’est bien… Je peux mourire en paix… Crystal… N’oublie jamais… de vivre ta vie… et rappelle-toi que la vie… est un très beau cadeau… mais que la mort en est un autre… qu’il faut savoir apprécier… et ne pas le repousser… Je ne m’en rends compte… seulement maintenant… et c’est une betise… que tu ne dois pas commettre… Même si je meur Crystal, une partie de moi restera toujours là, dans ton cœur…

Crystal se pencha sur son ami et déposa ses lèvres sur celles de Cid. Elle l’embrassa passionnément, en faisant durer ce moment le plus longtemps possible.

-Cid… Je t’aime… Ne meurt pas…

- Moi aussi je t’aime… Mais c’est trop tard. L’Ange de la mort est là.

Crystal se retourna. Devant elle se tenait une femme aux grandes ailes noires

- Tu vois Crystal… C’est fini… Mais même au dela de la mort, je t’aimerai toujours.

C’est sur ces mots que le survivant mourut. Il n’avait pas de remords, pas de regrets, juste la satisfaction d’avoir accomplis son destin…

Crystal pleura longtemps la perte de son ami, la tête dans ses bras, posée sur le torse de celui-ci. Elle ne se pardonnait pas d’avoir survécu. Elle ne se le pardonnerait jamais. Les medecins étaient arrivé entre-temps mais ils ne s’approchaient pas de la jeune fille, sentant qu’elle ne voulait pas être dérangée. Lorsque tout les medecins furent partis, Crystal pris Cid sur ses épaules et revenu en courent presque, chez elle. Lorsqu’elle frappa à la porte, sa mère lui ouvrit joyeusement, mais devint plus sombre en comprenant que Cid, Mora, Nima et tout les autres étaient morts. Crystal grimpa directement dans sa chambre et jetta un sortilège de conservation sur le corps de son ami. Elle était tellement épuisée que dès le moment où elle s’allongea sur son lit, elle s’endormit…
(suite)

Elle pris la fiole dans sa main droite et dévissa lentement le bouchon de cire. Lorsqu’elle porta le goulot à ses lèvres, elle murmura ces dernière paroles :

- Pardonne-moi Cid… Je ne pouvais plus résister… Pardonne-moi…

Elle avalla le liquide d’une traite, s’allongea sur son lit, et ferma les yeux. Ces yeux, elle ne les ouvrirait plus jamais.
Elle était morte.
Morte à l’âge de 16 ans.
Morte pour ne plus pleurer.
Morte pour se soulager de sa douleur.
Morte à cause de l’amour…
Elle avait pris soin de laisser une lettre, dans laquelle elle expliquait tout. Tout ce qu’elle n’avait jamais dit. Tout ce qu’elle voulait dire. Tout ce qu’elle avait sur le cœur :


Chers papa, chère maman, chers frères, chers amis,

Cinq ans ont passé depuis cette journée oû Cid est mort . Je n’ai jamais put me remettre de sa mort, c’est normal. Je l’aimais… Oui j’aimais Cid. Je ne lui ai jamais ouvert mon cœur car j’avais peur de sa réaction… Seule sa mort m’a fait parler. C’est à ce moment que j’ai compris mon erreur. Il m’aimait aussi. La vie est injuste puisqu’au moment où nous pouvons vivre notre amour, il meurt. Il m’avait fais promettre de vivre ma vie et de ne pas essayer de le rejoindre mais je n’en pouvais plus. C’est pour ça que j’ai mis fin à mes jours.

J’ai été la dernière de la famille, toujours dans l’ombre. Mais pour moi, c’était différent, car j’était une fille. Mais j’était tout de même dans l’ombre. Je suis allée à l'école,la meilleure école pour combatre les démons pourtant, personne n’y a pretté attention car je n’était pas la première. Je suis devenue la plus grande magisienne de l'école , lîb, Yserm et Tim l’ont été avant donc, ça n’avait pas d’importance. Même pas de félicitations. Et quand j’ai combatu et vaincu mon maître, c’était normal puisque je n’était pas la première. le jour ou a liue la bataîlle, même pas de félicitations pour avoir survécu. Rien ! . Il fallait que fasse quelque chose que j’était la première à faire pour attirer l’attention.

J’ai dis ce que j’avais sur le cœur, mais même si mon adolescence n’a pas été très gaie un peu à cause de vous, je vous aime tous très fort. Maintenant, je m’en vais rejoindre Cid, et tout ceux qui ont été mes amis et qui sont morts lors de l’attaque.
Lorsque vous lirez ces lignes, je serai morte. Je voulais que vous sâchiez tout ce que je pensais. A présent, c’est fait.

Je ne vous dit pas adieu car j’ai bon espoir pour qu’on se voit là-haut. Ce n’est qu’un aurevoir.

Crystal…


Voilà ce que ses parents trouverait lorqu’ils appelerait leur fille pour le diner.
Crystal, allongée sur son lit, morte, cette lettre posée en évidence sur le bureau bien rangé, et juste à côté, une fiole de poison…


The End

Alors

magnifique !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! waw toujours aussi talentueuse !

personne d'autre pour mon concour ?

BRAVO!
dsl je n'ai pas d'inspi...

t'inquiette je vais vite trouver .... super texte au faite !
*cherche l'inspi et voie qu'elle se barre chez un pote a moi*
pffff elle veut pas venir

yaya fait nous une merveille pour mon concour !!!!!!!!!!!!!!stp

C'est très beau ton histoire, très bien écrit.
Je vais réfléchir à en mettre une mais face à sa c'est perdu d'avance ^^.
Bravo

Pure impro pour réussir à faire face au chef-d'oeuvre de dead-woman ... Je suis mal barrée !!

L'appartement vide, toutes les portes grandes ouverts laissant passer les courants d'air froids et violents qui font grincer les vieux escaliers, un silence de mort ... C'est bien le cas de le dire, un silence de mort. Je suis seule dans cette maison hantée par le spectre de la désolation. Assise sur le lit, perdue dans mes pensées les plus sombres, je songe à ce qu'a été ma vie. Que de désespoir et de tristesse ! Mes yeux s'emplissent de larmes.
Soudain, on sonne à la porte. J'avais oublié que tu téléphonais à ton amie dehors. Mais j'avais tout fermé pour que tu ne puisses pas rentrer. Je ne voulais pas que tu me voies souffrir, que tu me voies pleurer. Car son mon visage ruiselle mes larmes les plus douloureuses, les plus dûres à contenir.
Tant de raison à donner à ces pleurs : des histoires d'amour qui n'aboutissent à rien, le suicide de ma soeur qui s'était jetée du haut du dizième étage, la dépression de ma mère après cet événement, mon père trop occupée pour y faire attention ... Et le pire de tout, ce qui m'avait anéanti malgré sa minuscule importance par rapport aux autres drames de ma vie : tu lui téléphonais. Je suis ton amie mais elle est beaucoup plus pour toi. Tu as demandé de sortir avec toi et elle a refusé. Moi, je rêve d'être dans tes bras à chaque nuit et tout ce que je récupère sont des sourires et des mots amicaux. Autant mettre fin à cette suite interminable de tragédie ...
Je me précipite sur mon bureau, prend un morceau de papier sur lequel j'écris "Tu connais mon histoire et tu sais pourquoi j'ai voulu y mettre fin". Mes larmes noient l'encre et la font baver. Je prends la lame poser sur la table de nuit. Je l'avais éguisé hier pendant toute la soirée je ne sais pour quelle raison. Mais maintenant, je lui ai trouvé une utilité. A pleine main, je l'enfonce dans mon avant-bras. Le sang coule, ruiselle, se mèle à mes larmes qui déboulent sur mon visage. Je pars rejoindre ma soeur où nous attendront ma mère qui ne tardera pas à nous rejoindre. Je pourrais la revoir sourire et me défaire de cette image de son corps inerte entouré de sang.
Au milieu de ce silence reposant résonne la sonnerie de la porte. Tu insistes, n'arrête pas de sonner en espérant que je t'ouvrirais mais c'est trop tard. Je sombre dans la mort. Les yeux mi-clos, je reste de marbre allongée sur le lit.
Soudain, la porte s'ouvre. Tu l'as défoncée. Un bruit sourd et métallique a empli la maison. Tu montes l'escalier pour me retrouver. Tu m'appelles incéssamment en espérant que je te répondes mais il est trop tard.
Un poids lourd tombe à mes côtés et je t'entends me parler :
- Ne me quitte pas maintenant. J'ai besoin de toi. Comment ferais-je sans mon amie qui écoute tous mes mes soucis.
- Tu te débrouilleras, lui répond-je en grimaçant de douleur. Tu sortiras avec ton amie et vous serez heureux. Tu m'oublieras.
- On en peut pas oublier la personne qu'on aime, me dis-tu doucement.
Tu panses ma blessure, tu m'encourages à vivre mais je ne peux répondre à ce que tu m'as dit. J'ai toujours été trop timide pour dire à un garçon que je l'aime. Même au seuil de ma vie, je ne peux te le dire.

C'est woah, très beau, même si je trouve le thème pas original.
Je n'écris pas d'histoire avec vous parce que justement j'ai pas d'idée pour changer de thème ^^... enfin si l'inspi me viens...

- Ne meurs pas, me dis-tu. Je ne veux pas te voir mourir. Je sais que tu as vécu des drames mais la vie vaut le coup d'être vécue. S'il faut, je vivras avec toi même les pires moments.
- Tu feras comme les autres et tu te barreras. Tu m'aimeras, tu me diras que tu m'aimes mais au premier sourcis, tu t'enfuieras.
- Je ne t'aimerai pas. Je t'aime déjà ...
Tu déposes un baiser sur mes lèvres gelées par l'approche de la mort. Je ne mourrais pas, je lutterai face à la grande faucheuse pour vivre auprès de toi. Tu m'aimes comme personne et je ne peux ne t'abandonner. Je gagnerai contre la mort, je vaincrai ma peur de vivre et je t'aimerai comme je n'ai jamais aimé personne.
Mais la mort m'envahit et le froid prendre place en moi. Trop tard pour vivre ce rêve. Mes yeux se ferment définitivement, mon souffle ralentit pour s'arrêter, mon coeur bat pour la dernireè fois ...
Réveil innatendu sur un lit d'hopital. Tu me regardes lentement ouvrir les yeux que tu croyais clos pour l'éternité. Tu sens mon souflle que tu croyais éteint. Tu sens mon coeur battre que tu croyais épuisé. Tu m'aimes alors que tu croyais me perdre à jamais. Tu veilleras sur moi jusqqu'à ta mort, voilà ta promesse. Et moi, je t'ai juré de ne plus recommencer d'essayer de t'échapper ...
Eternelle passion entre deux coeurs amourachés qui pensaient être trop distants et différents pour pouvoirs s'apprécier à leur juste valeur ...

FIN

J'avais fait un poème exacteemnt pareil mais bon ...
Je pourrais refaire une histoire si j'ai plus d'inspi un jour ??

Je présente aussi mon texte sur Jhudora que vous pouvez lire ici : http://jhudorastory.canalblog.com/

(Non j'ai pas d'autres thèmes, j'me lance même si ca n'atteindra jamais les votres... Donc purement inventé lol ) :

Je me présente, je suis Jen. Contrairement à d'autres histoires qui raconte la mort de quelqu'un moi je vais vous narrer mon " après" mort. Oui en effet, je SUIS morte. Vous allez vous dire " elle va pas bien comment peut-elle écrire si elle est morte" et pourtant c'est la vérité. croyer-le ou non. Je vous résume un peu ce qu'était ma vie, j'avais 14 ans, un frère plus grand avec qui j'avais toujours des disputes. Vous vous dites que c'est normal entre frère-soeur et vous avez bien raison, c'était le cas. Mes parents, attentionnés, compréhensifs même si avec eux aussi il y avait des désacords. C'est ce qu'ils appellent la " crise d'adolescence ", c'est à se demander si ce n'est pas eux qui la crée. Ils se disent sayez elle a atteint l'âge, maintenant on lui tappe sur les nerfs.
Au collège ca aller plutôt bien j'avais de bons ami(e)s, et en tant qu'élève j'étais qualifié de " sans problème", " sérieuse" , " dans la norme ". Qu'est-ce que leur critère de normes ? Enfin cela n'a pas d'importance.
Un jour que je rentrais chez moi après une dur journée de cours comme chaque lundi, je suis morte. Je ne suis jamais rentrée chez moi. Je n'ai appris que plus tard la raison de mon décès. Un homme s'était endormit au volant. Il avait fait la fiesta toute la nuit et en fin de journée dans sa voiture, il s'était simplement endormit.
D'accord, il fait de la prison et il a payer très cher une amande. Mais ca ne me rendra pas ma vie. Ai-je un prix ? Et puis à coup sur il ne fera pas la totalité de sa peine, dans quelques mois il sera dehors.
Après avoir rendu mon dernier souffle, gisant sur le bord de la route; Je m'envolais loin de ce qui avait été mon corps pendant 14 années. Je survolais le monde à une vitesse hallucinante. Puis je suis arrivée devant un long fleuve, près de moi un homme dans une barque censé me conduire dans l'au-delà. Dans ce monde brillants et luisants.
Je lui tendis une petite bourse qui contenait quelques pièces et qui avait apparut mystérieusement en ma possession.
Je montais dans le bateau et il se mit à ramer.
je ne pourrais vous dire combien de temps après car en ce monde la mesure de temps me semblait différente; quelques instants après j'appercus les berges transparentes, sous un pâle lever de soleil.
Je descendis et mes pieds nues entrèrent en contact avec une végétation d'une douceur incomparable. Devais-je rester ici éternellement ?
Je marchais, encore et toujours...
Maintenant cela fait 4 mois que je manque à ma famille, mais moi il ne me manque pas car je les observe chaque jour et les guide. Je sais aussi qu'ils me rejoindront un jour....

Fin, j'ai pas envie de continuer :d

Ah! si yaya finalement c'est original :d grace à la fin! On s'atteint à la mort... -_- pis finalement retournement de situation. Bravo

Mais je préfère celui de dead-woman ...

Merci.
Moi aussi le sien est mon préféré.

c'est pas mal !!è Bloody et yaya il est superbe !!!!!!!!


aller continuer a envoyer des textes !

impro

j'était là dans ce champ quand tout a commencé ,tu étais la tu me regardais
et moi je ne faisais attention que a la corde que j'avais dans les mains
je pleurais ...
je l'attacha à un arbre et fis une boucle bien solide ,je mis ma tête dedant
soudain tu sortis du buisson dans le quel tu était cachée , mon amie quand je repense à toi je pleure, tu a souté sur moi pour m'enpécher de cometre cette bétise mais en me prenant on est tombé par terre et ta tête a percuté une pierre un filet de sang coulait doucement de ta nuque
- NOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!! hurlais-je mais tu étais sans vie
je ne pouvait t'enmener dans aucun hopital nous étions au millieu de nul par ! alors je t'est pris dans mes bras et j'ai marcher ,j'ai marcher jusqu'au village avec ton corp lourd et innerte en pleurant quand je suis rentré tout les gens du village son sorti de leur maison en me dévisageant
j'étai a bout de soufle et je tombis par terre
tes parent se sont aprecher de moi en pleurant , ton père ma battu et ma frapper à grans coup de pied car il penssait que je t'avais tuer j'était au sol en sang mes parent son venue vers moi se demandant se qui se passait
ton pére a dis que je t'avait tuée et il l'on cru
maintenant je ne sais plus ce qui est vrai peut être que c'est vrai je t'est tuer d'une certaine manière.
les gens du village mon chasser ,même mes parents
alors je suis partie avec mon cheval et mes seule affaire ,
pour toi j'ai promis que je continurais à vivre même dans les pires condition je continurais a vivre comme tu aurais du vivre

je t'aime mon amie


voila c'est nul par raport a vous mais bon ...

Je marche dans la rue, passant devant un arrêt de bus et comme chaque jour je vois cet homme. Il n'a pas de domicile, il me fait pitié avec sa guitare sèche et ses vieux habits. Personne ne fait attention à lui, personne ne s'assoit près de lui pour discuter un peu. Il joue, souvent le même morceau. Moi je ne m'en lasse pas, il est si beau. Je pourrais passer des heures à l'écouter. Et ces passants autour ne remarquent -t-ils pas la détresse de cet homme ? n'entendent-il pas la douceur de la mélodie de son instrument ?
Moi elle m'apaise. Alors j'oublie, mes soucis. Quand je passe dans cette rue, devant cet homme souvent je m'arrête et je m'assois à ces côtés pour l'écouter jouer.
De temps en temps, il change , il joue autre chose. Parfois même il chante. Ses refrains me touchent au plus profond, ils sont si gaie.
Ce monsieur a qui la vie n'a pas fait de cadeau, arrive quand même à être heureux et à le montrer.
Quelques mois plus tard ce fut l'hiver, je le voyais se recroqueviller dans son manteau sale. Pourtant il continuait de jouer quand j'étais là. Peut-être pour me faire plaisir, je ne saurais jamais.
A présent il est mort, L'hiver l'a emporté car malgré son manteau fourré, A l'intérieur son coeur était gelée.

Fin, c'est pas très long mais j'ai pas d'inspi ^^

Broken- heart ==> Zoli mias mal exploité ...
Bloody ==>