Je t’ai aimé, d’un amour familial,
Ca me fait mal,
De repenser à toi, car tu me manques.
Même si tu ne fais plus parti de ce monde,
Je n’oublierai jamais ton visage,
Même si tu n’auras peut-être pas ce message.
Parfois, j’ai l’impression que tu veilles sur moi,
Si les anges gardiens existent, le mien c’est toi.
Tu m’as vu grandir,
Sans doute faire mon premier sourire,
Je ne sais pas où tu es et ce que tu fais à présent,
Je sais juste qu’un jour, je te rejoindrai, mais seulement dans quelques temps.
Tous tes membres,
On été réduits en cendres,
Mais peut être que dans ton cœur, il y a toujours de la place pour ta famille,
Pour tes filles,
Et petits-enfants. Tu étais formidable,
Mais à cause de cette maladie abominable,
Aujourd’hui tu n’es plus là, et tu ne te souvenais qu’à peine de nous.
Et maintenant je me rends compte à quel point ce proverbe est vrai :
Ce n’est que lorsque l’on perd quelqu’un, que l’on se rend compte à quel point on l’aime,
Mais c’est malheureusement trop tard.
J’espère, que là où tu te trouves, tu es heureuse,
Car tu le mérites vraiment.
Tu resteras à jamais gravé dans mon cœur car je t’aime.
Tu resteras ma grand-mère adorée pour toujours.
(bon c'es tun de mes premiers poèmes alors soyez indulgents je l'ai mis pour ornella car elel voulait le voir...:'( bon il n'est pas du tout bien structuré mais bon...)