Alarielle (pour comprendre mon perso odh....)

&: première revelation
Je me souviens parfaitement du jour de ma naissance. Je m'en souviens car ce jour là, la pierre Bleue a crié. Le coeur de Gwaëarenth me reconnaissait come son égale. On me nomma Alarielle, de l'elfique "aglar", noble, et "miriel" , trésor. La Pierre n'a plus crié depuis ce jour. Gwaëarenth attends sa prochaine élue. Depuis maintenant presque 20 ans, Ulthuan est gouvernée par Alarielle, reine éternelle. Ulthuan, la cité volante, Ulthuan l'invisible. Ulthuan survole la Canaria. J'aime y descendre, c'est vraiment une forêt magique. On ne sait jamais ce qu'on peut croiser au détour d'un chemin; un nouveau ruisseau chantant et éclaboussatn d'écume les rocher ventrus et moussus, un nouveau chène centenaire, imposant de son age et de sa sagesse? On ne sait jamais quelle nouvelle découverte on peut faire en s'asseyant simplement dans l'herbe tendre et verdoyante d'une clairière; un nouveau chant clamé par mésanges, rossignols et autres chanteurs-voltigeurs, une portée de louveteaux passant par là, surveillés par la mère attentive au pelage d'argent ? On ne sait jamais ce qu'on peut appprendre en observant rien qu'un peu; la solidarité animant fourmis et abeilles, de si petits insectes capables de si grandes choses, la difficulté attendrissante des nouveaux nés à qui la mère apprend à marcher, et à se relever coute que coute? Quelquefois, j'y croise des elfe, créatures fines, élégantes, dotées du don des mains ;la forêt est leur domaine, tout comme Ulthuan est mon royaume. Les elfes sont extrêment généreux, j'ai reçu tellement de cadeaux de leur part!
Lorsque je le décide, Ulthuan s'élève haut, très haut. Si haut que parfois, on peut voir la mer. Tout lemonde se précipite aux limites de la ville pour contempler l'étendue bleue. Le vent m'en apporte les embruns, comme le jour de ma naissance. Un signe, non ?

2:Rencontre
Ce jour, j'étais, descendue dans la Lorien, sur un rocher au bord du torrent. J'ai sursauté quand j'ai entendu des bruits de pas derrière moi. Ce n'étaient pas des elfes, les elfes marchent silencieusement. J'ai entraperçu deux silhouettes encapuchonnées de noir et de taille moyenne. Ce n'étaient opas des elfes, les elfes ne cachent leur visage qu'en cas d'extrême necessité, et les elfes sont grands. Mais ma peur s'est évanouie lorsque je les ai vus approcher. Ha ha ha ! Non, cce n'étaient pas des elfes, car les elfes sont gracieux.... Mais qui était ce alors ? UN coup de vent a baissé la capuche de l'un deux. Effectivement, aucune trace d'oreilles pointues. Il a parlé. Il n'a dit qu'un mot. Un ordre.
"Attaquez!"

***

Je me suis aussitot relevée, dégainant mon sabre. D'autres silhouettes noires sortaient de partout, derrière les arbres et les buissons! Les capuchons étaient baissés, les capes enlevées à la va vite et je reconnus les uniformes des soldats du roi humain Nakarmo. Ils commençaient à se jeter sur moi. Je faillis réagir trop tard, mais in extremis j'évitais une première attaque, et en parait une deuxième. J'étais maintenant à six contre une, entièrement déloyal! je me démenais, tant bien que mal, parant, parant et esquivant sans cesse les coups qui pleuvaient, sans avoir le temps d'attaquer! Je commençais réellement à fatiguer, et je décidais de leur sortir le grand jeu: j'avais besoin de quelques instants de concentration, alors je courrai le plus vite possible entre les troncs d'abres, pour gagner ne serait ce que les quelques secondes nécessaires. Plus lourdauds et moins habitué a courir dans la foret, les soldats se prenaient les pieds dans les racines noueuses et se faisaient gifler par les branches et les feuilles, qui semblaient me soutenir, toute la foret luttait avec moi contre les intrus! J'avais largement le temps nécessaire. Je m'accroupis puis je murmurais sur le ton du secret imposé la formule protectrice,"Iath!" me concentrant pour essayer de trouver les mots de la prochaine formule que je voulais utiliser. La barrière magique me protègeait pour un temps des soldats qui arrivaient et commencaient a essayer de planter leurs épées dans cette bulle inconsistante. Ils rencontraient comme un mur.Les mots elfiques me revinrent d'un coup et je rugis: "Rûth en i panna!! ". Ce qui eut l'effet escompté: la barrière magique s'abaissa tandis qu'une pluie de feu s'abattait sur mes ennemis. Je n'avais pas voulu les tuer, auquel cas j'aurais ajouté "Innas i firir" (mot à mot "volonté: qu'il meurents!")à la fin de ma phrase magique....le feu ne brula donc pas leur peau mais uniquement leurs vetements...affolés, ils s'enfuirent tous en courant. Satisfaite, je me relevai. Masi je n'avais pas pris soin de les compter....ils n'étaient que cinq à avoir été touchés par le feu de lumière...Je reçus un violent coup dans la nuque et un nuage noir et opaque voila mes yeux.

3:Le camp des soldats
J'étais de nouveau consciente mais je n'osais pas ouvrir les yeux. Reprenant conscience de tous mes membres, lentement. J'ouvris enfin les yeux, pour les refermer aussitot. Je ne savais pas au juste ce que j'avais vu, lumière aveuglante ou noir complet? La tete me tournai, mes pensées étaient incohérentes. Je me forcai a respirer lentement, puis, essayant de bouger, je m'aperçus que j'étais immobilisée.Les mains liées dans le dos, et aparemment assise. Mais je constatai avec soulagement que je pouvais encore bouger la tete. Je secouai vigoureusement mes cheveux, ce que je préférais en moi: mes longs cheveux bleux azurs aux reflets océaniques, héritagge de Gwaëarenth, demie-sirène et demie-sylphides, fondatrice d'Ulthuan. Les mèches fraches qui me caraissaient le visage m'apaisèrent et me remirent les idées en place. Je sentais une douleru cuisante dans la nuque. Et une violente envie de rendre ce coup à celui qui m'avait frappée.J'ouvris de nouveau les yeux. Je n'y voyais goutte, il faisait noir comme dans un four. J'étais manifestement dans une tente, ou car je ne sentais pas le vent qui devait balayer la foret et les plaines environnantes en cette saison, en revanche je l'entendais claquer sur la toile. Je criais alors haut et fort, dans l'espoir que l'interessé m'entende: "Im suilan i benn a i hirr ! A im innan govad e!" Un trou de lumière rectangulaire (la porte de la tente) s'ouvrit et je vis la silhouette d'un homme se dessiner dans le soleil. Mes yeux mirent quelques secondes à s'habituer à la lumière, puis je pus observer l'intérieur de la tente -bien qu'il n'y eut rien a voir a part le sol et les murs- et distinguer le visage de l'homme, qui était le chef des soldats qui m'avaient attaqués dans la forêt. Mais ce qui me frappa, ce fut son épée! Une magnifique épée, longue et épaisse, au fil qui semblait plsu tranchant que n'importe quel autre, mais surtout: son pommeau gravé des armes d'Ulthuan et de Gwaëarenth !! J'essayais de garder mon calme face à cette découverte, tout en me demandant commetn une telle épée pouvait arriver entre les mains d'un soldat de Nakarmo.
"Qu'as tu crié ainsi, elfe ?! Je ne comprends que très peu l'elfique !
-Je ne suis pas une elfe, repondis-je en langage humain. Je suis sirène et sylphide, reine d'Ulthuan Cité Flottante. Et je n'ai dit que "Je salue l'homme qui est le chef. Et je veux le rencontrer"
-Très bien, tu m'as devant les yeux et maintenant que veux tu ? Fais vite car la bataille fait rage au dehors!
-La bataille fait rage? Je n'entends rien d'autre que le vent!
-Elle se passe assez loin d'ici, grogna -t-il, enervé. Alors, que veux tu ?!
-Uniquement savoir la recette de votre plat elfique préféré.
-Tu te moques de moi ?!
-Juste un peu...Non, je voudrais savoir pourquoi vous m'avez lachement attaquée par derrière, amenée ici, et qui sont donc ceux qui vous attaquent, que je les remercie?...
- Vous êtes ici sous ordre du roi Nakarmo, et heuh...un demi elfe et un humain..heuh...nous sont tombés dessus par surprise et....
-Oh, rien qu'un homme et un demi elfe....Les soldats du roi se laissent aller...et bien j'espère qu'ils comprennent l'elfique, ces deux héros!
-Quoi? s'estomaqua le chef, qui n'avait pas vraiment tout saisis. sans lui laisser le temps de comprendre d'avantage, je criais:
-DAGNIR EN I HIRR! IM AN SI ! VI PALAN EN DAGOR ! (Cauchemars du chef, je suis là! Loin de la bataille!)"
Le chef des soldats était encore abasourdi par le volume sonore de mon appel, mais moi j'entendais effectivement des cliquetis d'epées qui se raprochaient. Avant qu'il ne se relève, je dis:"Hremmi!" et des cordes invisibles l'enserrèrent des pieds à la tête. Il lacha son épée, et je me rpomis de la ramasser et de l'observer prochainement. Quelques minutes plus tard, un homme arriva en courant, puis un deuxième. Ils arrivèrent, haletant, dans la tente. Leurs vetemnts étaient lègèrement tachés de sang, ils avaient quelques écorchures çà et là et portaient deux lourdes épées aux pomeaux richement ciselés.
"Nab tonès, Mellyn(vous arrivez tard,amis)", observai-je, d'un air amusé (si, luth!!! ami c'est mellon au singulier et mellyn au pluriel ^^ au revoir c'est melyn, avec un seul "L" !! ah, les difficultés de l'elfique XD!! j'en profite pour signaler que j'utilise le véritable elfique utilisé par les elfes de Tolkien dans le Seigneur des anneaux et tous ses autres livres!)

voila, alors si vous ne pouvez pas attendre que je poste la suite: http://reine-eternelle.skyblog.com

-_- n'intéresse personne mais je mets la suite.
4: une bien étrange épée

Sans noter l'ironie, le demi elfe déclara:
"C'est vous qui avez appelé ?
-Parfaitement mon cher monsieur.....
-Nathaniel pour vous servir et...
-Moi c'est Natrïvo, déclara l'homme. Heureusement que c'est Nathaniel qui vous a entendu, parce que moi je n'aurais rien compris. A propos, je n'ai toujours rien compris, mademoiselle....
-Alarielle, reine d'Ulthuan, Cité flottante. Je vous ai uniquement appelé au secours, car voyez vous ma liberté de mouvement se trouve très limitée en ce moment meme.
-Que...Oh, oui, excusez nous, votre Altesse !" dit Nathaniel, l'air catastrophé, qui se précipita défaire mes liens. Ceci fait, je me relevai pour me dégourdir un peu les jambes, et j'allai chercher l'épée intriguante (donnant un passage un coup de ma botte de daim au chef des soldats. Bien fait). Je la pris dans mes mains, la tournant, la retournant, et découvrant runes sur runes, dans un dialecte qui était surement inconnu meme à Malfadir, la grande sage de Canaria ! Nathaniel et Natrivo me regardaient, intrigués.
"Que faites vous, Reine? demanda l'humain
-Il est étrange qu'une épée frappée des armes d'Ulthuan et de sa fondatrice soit tombée entre les mains d'un soldat de Nakarmo! Cette arme m'intrigue."
Alors que je retournais de nouveau l'épée, un phénomène spectaculaire se produisit: l'épée se transformait en baton de lumière incandescente dans mes mains! Tous les trois éblouis, nous assistions à une transformation de la matière: L'épée s'allongeait , sa forme devenait plus longiline et son toucher plus rugueux. Résistant à l'envie de la lacher, j'observais la mutation, etonnée auj plus au point. Quelques secondes plus tard, j'avais entre les mains un baton de bois étrange, mesurant presque 1m30 de longueur, enserré en deux endroits de lanières de cuir, noué de trois rubans, vert orange et bleu et terminé aux deux extremités par des racines enserrant de leur étreinte des pierres, assez ronde et bosselée en bas, sculptée en forme de lame tranchante en haut.
Ebahis, l'homme et le demi elfe tirainet des tetes de six pieds de longs ainsi que des yeux ronds. Me tournant vers eux, je demandai:
"Quel est ce prodige? Qu'est ce qui....
-Je...C'est vraiment...il me semble, oui, c'est....Non, non ça ne peut pas être...Natrïvo semblait plongé dans un désarroi total tandis que Nathaniel bégaiyait.
-Quoi ? Vous savez quelque chose, elfe? mes paroles ajoutèrent encore à sa confusion
-Vous aussi vosu me considérez comme un...vrai elfe?
-Qui que vous soyez dans votre coeur, l'apparence ne compte pas, et n'importe qui ressent en vous le courage et la délicatesse des elfes, répondis-je, sourire bienveillant aux lèvres. Mais je vous en supplie, que croyez vous qu'est ce baton ?
- Je n'en suis pas sur, absolument pas! Mais Ellerya saura peut être, elle vous ressemble vraiment par sa façon de penser, elle aussi me considère non comme un batard hybride mais comme faisant part entière du peuple des arbres !
-Qui est Ellerya, demandais-je. Une elfe?
-La plus grande, la plus belle, la plus douée...commença Natrïvo, et la meilleure dasneuse de lame, voila ce qu'il va vosu répondre et il est intarissable d'éloges sur elle.
-Oh, elle le mérite certainement ! assénai-je brusquement, voyant que Nathaniel avait rougi. Vous ne faisiez pas autant le fier devant la transformation de l'épée !"
Cette fois, il baissa les yeux. J'avais gagné. Je ne supportais pas ces moqueries ironiques, et ce Natrïvo commençait à me devenir franchement antipathique. Ou se trouve donc Ellerya, danseuse de lame de talent, Nathaniel ? Nous avions établi notre campement a la lisière de la forêt, avant de remarquer cette troue de soldats. Nous n'avons pas resisté à la tentation d'aller les provoquer!

Continues, please...

(pour voir les dessins qui vont avec: http://reine-eternelle.skyblog.com ^^)

~5~Ellerya BelegMegil et Nathaniel SaelPeredhel
Le camp était désert, mais cela ne semblait en aucun cas inquiéter les deux hommes. Des tas de couvertures étaient entassés a coté de deux chevaux couchés dans l'herbe. LEs braises du feu éteint étaient encore rougeoyantes. Ne posant pas de questions j'allais explorer les environs pendant que Natrïvo et Nathaniel ranimaient le feu. Je m'enfonçasi dans une partie de Canaria que je ne connaissais pas encore. J'avvançais droit, préférant le contact griffu et frais des feuilles au bout des branches que le sentier. Je marchasi jusqu'a ne plus voir le campement, puis je m'asseillai sur la mousse, fermant les yeux, éteignant la vue pour laisser cours à tous les autress sens, attentive au moindre bruit, cherchant le moindre mouvement dans les feuillages. Je me fondais avec la nature, fusionnant avec la foret, Le bruit de mon coeur battant rythmant la vie de la clairière alentour. Au bout de quelques minutes de cette transe végétale, je sentis l'air se raffraichir: la nuit tombait. C'est alors que je perçus un chnat, très lointain. Une mélodie que j'avais apprise dans un lointain passé.....Que j'avais chantée comme toute sles autres, étant petite, que je n'avais jamasi oubliée!!
Je courrais dans la direction du chant, sautant par dessus les souches, volant comme un oiseau enivré de savoir voler!

"Y Na, saël gunn in Edain
So, puis na dath eimain
Dar, leicha melên
Roch, opuinen! "
A bout de souffle, j'arrivais au bord d'une clairière verdoyante ou fleurissaient mille fleurs argentées. L'elfe qui dansait en faisant tournoyer gracieusement ses lames chantait la chanson de Gwaëarenth, au seuil de la mort....D'un façon si émouvante, à la fois semblable et différente de celle que les petis apprenaient lors de l'éducation concernant la fondation d'Ulthuan. Je regardais l'elfe se mouvoir, ses cheveux noir de jais virevoltant autour d'elle, comme dotés d'une volonté propre, sa robe aux mille reflets changeants dont on ne pouvait distinguer la vraie couleur, et ces deux lames volant, lancées dans les cieux puis rattrappée avec une agilité magistrale! Arrivant enfin a détacher les yeux de la danse, j'aperçus Nathaniel de Natrïvo, qui regardaient eux aussi. Lorsque la chanson et la danse furent finies, je m'avancai vers elle.
"Im suilan i ellon Ellerya, BelegMegil a Nathaniel, SaelPeredhel !
- Je te remercie, et te rends ton salut, ô adaneth. Quel est ton nom ?
-Je suis Alarielle Elleth En i Gaer, dis-je, fatiguée de répéter mon titre de reine d'Ulthuan. Que votre destin soit aussi pur que ces fleurs d'argent apparaissant sous vos pas de danse, et votre vie aussi belle et mouvmentée que la danse des lames que vous exercez avec tant de talent!
-Que votre coeur soit honoré par la sincerité de vos paroles, et le monde adouci par les larmes de bonheur que ma chanson a provoqué pour vous. Quelles en sont les raisons, fille de la Mer?
-Votre chanson n'est autre que celle de Gwaëarenth au seuil de la mort, transformant son coeur en saphir éclatant pour que vive son esprit a travers la dynastie féminine d'Ulthuan.
-J'ai chanté cette mélodie car j'ai senti beaucoup de voix la chanter dans le ciel. J'ai cru un instant entendre les pensées des anges !
- Ce sont les enfants d'Ulthuan qui apprennent cette mélodie...
-Alors je m'excuse si il n'est reservé qu'aux descendants de Gwaëarenth de chanter ces paroles!"

~6~Le coeur d'Avelorn
Je me réveillai brusquement.Tout le monde dormait le campement était silencieux, hormis le grésillment du feu et les ronflements de Natrïvo. Alors quelle était cette douleur qui me transperçait le coeur? Sans réfléchir, je rassemblai mes affaires et je m'enfoncai dans la foret. Les bruits de la nuit 'emplissait les oreilles de sonorités inquiétantes et pourtant apaisantes: Les bruit du vent dans les feuillles, les crissements de la terre suos mes pas....
Les troncs baignés d'ombre me faisaient penser à des géants statufiés, et les feuillages baignés de lune semblaient etre la chevelure aux reflets d'argents de ces colosses austères. Et alors, je vis La Lumière. Derrièreles buissons, elle brillait si intensément que j'eus l"impression de voir le soleil se lever! J'avançais, fascinée. Cette illumination donnait à la forêt un air magique (enfin, encore plsu magique que d'habitude). Je me rapprochai et me rapprochai encore. La lumière était si vive qu'elle aurait du m'éblouir, mais je voyais normalement et me sentais tout aussi bien. Je n'avais pas l'impression d'avancer mais plutot de m'immerger dans la lumière, chaude et réconfortante. je marchais encore et encore, epsnant rencontrer quelque étrange objet en source de cette illumination, mais un pas et...je me retrouvai de l'autre coté de la clairière! j'avasi traversé l'aura étrange sans trouver son origine! retournant, sur mes pas, j'avancai plus lentement, à petits pas, puis me mettai à quatre pattes et finalment rampais pratiquement sur le sol, pour mieux ressentir la terre et ce qui provoquait cette lumière digne de l'astre du jour! Après quelques minutes de rampement lent et attentif, j'étais retournée a mon point de départ. Persisante, je repris, mais il se produisit exactement la meme chose. Alors, Profondément fatiguée mais surtout un peu vexée, j'osais un grand saut, pensant me retrouver au milieu, et je m'allongai sur le dos. Préte à y rester tout le reste de la nuit et voir si la lumière disparaissait... Je sentis mon coeur se serrer quand je prit conscience de voir les étoiles. Car la lumière perdait de sa consistance. La lumière s'en allait et moi je me sentais différente....Le trou formé par la clairière dans les arbres commençait à s'illuminer de la lumière de l'aube....les troncs tournoyaietn autour de moi, ou étaietnc e mes yeux qui me jouaient des tours?
Et alors, comme portée par une force invisible, je me levais et vis que ma poitrine semblait délivrer la lumière! Je refermais les mains sur mon coeur afin de garder pour moi seule la lueur apaisante... tandis que je fermais les yeux et me laissai aller, une voix chuchotais de plus en plus fort dans mes oreilles et battait à mes tempes :
"coeur d'ave....c'est ton coe...orn ton coeur est....avelorn tu es..... lorn est en t...avelorn désor...oi....mais tu es....."

j'ai la suitemais a pparemment ça n'intéresse plsu perosonne...de totue façon, vous le trouverez mieux présenté et plus agréable à lire ici: http://reine-eternelle.skyblog.com
~7~Leçon de danseuseDe retour au campement peu après le lever du soleil, Nathaniel, Ellerya et Natrïvo étaient déjà levés. J'appréciai qu'ils ne me posent pas de questions sur ma nuit, car ils avaient forcément remarqué mon absence. Ce fut donc moi qui leur racontai les évènements de la nuit devant une sorte d'omelette aux herbes cuite sur le feu.
"Je ne sais toujours pas ce que ça signifie, mais les soldats, l'épée qui se transforme et mon coeur qui absorbe la lumière, ça fait trop d'un coup ! J'étais paisiblement sur ulthuan, menant ma vie entre mon royaume et Carania et tout me tombe d'un coup dessus !
- Parfois le destin fait de ces coups là, dit nathaniel, en vieux philosophe
- Ton destin, reprit Ellerya. Ton destin est peut être maintenant en marche, et ces évènements t'aideront à l'accomplir.
-Je pense que ton baton sera ton arme, renchérit Natrïvo
Silence. NAtrïvo n'était pas un elfe. Non, non. Parce que les elfes savent étre logiques et ne as dire de choses inutiles et évidentes...Eclat de rire général

***

Pendant que les deux hommes allaiet chasser, Ellerya et moi allions parcourir la foret. Elleme faisait remarquer d'autres choses, avait un regard différent. Nos yeux ne s'attardaient as aux memes endroits, nous nous complétions, en quelque sorte. A nous deux, nous avions la vue parfaite. Elle commença à m'initier aux lames. Après un premier essai infructueux (se traduisant pr éraflure nombreuses sur les écorces des arbres environnants, manque de peu de décapiter ellerya et moi mème, manque de peu également de casser les belles lames d'Ellerya), elle décida de m'apprendre d'abord quelques phrases, les devises ou les pensées de la danseuse de lames qu'elle était.
"Vivre au jour le jour, oublier tout ce qui n'a pas trait à l'instant présent lorsque tu manies tes lames...
Laisse ton esprit glisser le long de ta lame, laisse l'épée se diriger elle meme, laisse ton ame apprécier les arabesques que ton corpstrace instinctivement.
La patte du chat ne tremble pas lorsqu'elle attrape la souris: de la meme manière, ne rappelle pas tes esprits à toi lorsque tu seras obligée de tuer. Si tes lames prennent des vies, tu seras tes lames, si tes lames tuent, c'est toi qui auras tué et qui devras en porter la responsabilité, c'est pour cela que tu ne devras tuer que quand cela est extremement nécessaire."
Je m'imprégnais de ces paroles sages, avant de saisir les gardes des épées fines et èquilibrées. Parfait. JE les avait bien en main. Parfait. Je laissai glisser mon ame le long des lames, oubliant ce qui n'avait aucun trait à l'instant présent. Ne plsu penser qu'à l'herbe sous mes pieds, l'air que je respirais, la foret qui m'offrait son abri et ignorer le regard d'ellerya semblant attendre tant de moi. Je commençais à danser.

ma belle Ellerya... Soupir...

^^ lol , et toi finit la ton histoire!!

j'adore !

merci ^^

de rien