J’ai un sorte de sentiment perdu à présent : l’enfance.
Je me balance,
Avec délicatesse,
Tout en évitant quelques maladresses.
Je me remémore ces plus beaux souvenirs,
Nos plus belles bêtises, et nos grands fous rires.
A présent, ce temps et bien loin.
Ce n’est pas pour autant que je vous aime moins.
Mais pourtant, nous nous éloignons,
Mon cœur laisse place à l’oubli.
Je me rappelle quand nous rigolions,
Avec ce garçon.
Elle est partie avec lui,
Toi tu es partie étudier dans une grande université loin de moi,
La troisième, est partie avec mon mari.
L’avant dernière, elle, est partie dans un autre pays,
Et la cadette… Elle est partie là haut, au ciel.
Mon cœur est déchiré quand j’y pense,
Plein de remord et d’espérance.
Vous me l’avez torturé,
Mais je pense toujours à vous avec autant de tendresse,
Qu’autrefois dans notre jeunesse.
Mon enfance s’envole, bientôt tous ses souvenirs aussi.
J’aimerai tant continuer de rire avec vous,
En oubliant mes responsabilités, dormir tranquille dans mon lit.
Jouer, crier, chanter, rire, c’était nos a verbes à nous.
Maintenant, nos destins sont tracés,
Nous ne nous reverrons plus jamais…
Une perle de larme s’écoule le long de ma joue.
Je repense à vous.
Sans doute la dernière fois, je ne me rappelle presque plus de rien,
Je sombre dans le noir,
En regrettant que nous ne nous soyons plus jamais revu,
Depuis ces vingtaines d’années passées.
Sur ce, mon cœur s’arrête de battre.
Accueil 
Rechercher 
S'enregistrer 
Connexion 
